Brevet

J'commence par mettre les Maths(très bidon en passant^^)

Brevet Numeri10

Légende du quartier Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 21/05/2007

On a eu les memes ^^' je vais scan l'histoire si j'ai le temps (on avait pas fait la leçon sur la france ._.)

On passe au Français.

Brevet Franca10

Une rédaction que j'ai trouvé sur le net:

Spoiler:

Mais avant d'en arriver là, revenons à notre aubergiste. Voici le corrigé que je vous propose.

Après une dure journée de travail, Labarre rentra chez lui. Sa femme l'attendait sur le seuil du pas de sa porte avec l'air anxieux d'un ornithorynque couvant ses petits.
- Bonjour ma femme.
- Bonjour mon mari.
- Comment vous portez-vous ?
- Bien, merci, et vous ?
- Bien, merci. Beau temps pour la saison, non ?
- Ne m'en parlez pas. Encore un coup du réchauffement climatique.
L'aubergiste ouvrit la bouche et, constatant qu'il avait épuisé tous les sujets de conversation possibles, décida de confier à sa femme ce qu'il avait sur le coeur.
- A ce propos...
- Oui ?
- Vous ne savez pas ce qui m'est arrivé tantôt ?
- Non.
- C'est dommage, c'était dans les Misérables de Victor Hugo.
- Comment le sais-tu, le bouquin n'est pas encore sorti ?
- Depuis quand tu me tutoies ?
- Depuis que j'emploie le registre familier eh couillon!
- Ah bon! Alors si c'est ça, ça va.
- À propos, il parle de moi ce Victor Hugo ?
- Pas du tout. Par contre les élèves qui ont passé le brevet en 2007, oui.
- Ça ne me rassure pas tellement.
- Au fait, je ne t'ai pas raconté ce qui m'est arrivé ?
- Non, toujours pas.
- Bon alors c'est l'histoire d'un mec, il arrive chez moi et là il me demande : « Bonjour, je voudrais le gîte et le couvert ».
- Il faut être gonflé pour demander ça à un aubergiste.
- Je ne te le fais pas dire. Il avait un air louche, genre Frémon dans plus belle la vie. Discrètement j'envoie quelqu'un chercher des renseignements auprès de la police. Et figure-toi que j'apprends que ce type c'est un dangereux bagnard. Alors moi je lui réponds : « Monsieur je veux bien être tolérant, mais il y a des maisons pour ça. »
- Depuis quand tu lis Claudel, toi ?
- Ah c'était du Claudel ? Comme quoi il n'y a pas besoin d'être un grand écrivain pour dire des conneries. Bref, il me répond : « Mais Monsieur, c'est une auberge ici, non ? »
- Tiens à ce propos, qui tient l'auberge en ce moment ?
- Sapristi, c'est vrai, il faudra que je me fasse construire un logement de fonction à proximité. Bref, je lui réponds que je ne peux pas l'accepter chez moi.
- Il avait de quoi payer ?
- Oui, à ce qu'il prétendait.
Madame Labarre regarda son mari d'un air méprisant.
- Mon pauvre ami, tu n'es qu'un imbécile.
- Je te demande pardon ?
- Cet homme, il était seul ?
- Oui...
- Eh bien tu n'avais qu'à l'accueillir dans ton auberge.
- Un dangereux criminel ? Un voleur de pain multirécidiviste ? Mais tu n'y penses pas ?
- Allons donc, un homme seul, qui plus est connu de la police. Cet homme a de l'argent et l'argent n'a pas d'odeur. Tu n'avais qu'à attendre qu'il s'endorme pour l'assommer et lui prendre son argent. Le lendemain, tu le dénonçais à la police comme un mauvais payeur et grâce aux peines planchers pour les multirécidivistes instaurées par Sarkozy, il en avait pour vingt ans à croupir derrière les barreaux.
Labarre regarda sa femme avec un air d'incrédulité. On aurait dit une gallinette cendrée venant de découvrir un oeuf kinder sur le point d'accoucher d'un jouet en plastique.
- Mais si cet homme m'avait dénoncé ?
- Qui l'aurait cru ? La parole d'un ex-bagnard contre celle d'un honnête homme connu dans tous les environs pour regarder le journal de 13 heures sur TF1 ? Non, si tu veux mon avis, tes scrupules te perdront. Regarde-moi, je suis une femme épanouie.
Et en disant cela Madame Labarre affichait effectivement la mine radieuse d'une ménagère de moins de cinquante ans suivant un régime spécial K.
- Il y a quelque chose de changé dans ta vie. Quel est ton secret ?
- Grâce à Nicolas Sarkozy, je suis une femme décomplexée, je n'ai plus honte d'être de droite. Tu devrais essayer toi aussi, c'est facile.
- Tu as raison, je vais essayer de changer. Dorénavant, il faudra mettre Labarre à droite.
- C'est tout ce que tu voulais me dire ?
- Oui.
- Tant mieux, avec toutes ces histoires on risque de rater le droit de savoir.

Et, enfin réconcilés, ils s'en allèrent, main dans la main, vers des lendemains radieux qui chantent des chansons de Michel Sardou.

Légende du quartier Nombre de messages : 27 Date d'inscription : 21/05/2007

XPDR!!! encore mieux que la rédac d'ali ._. Y'a pas à dire y'en a ce sotn des bests^^'.

comme tu le dit si bien ceci les math sont quelque peu bidon.
par contre le francais et l'histoir qi viendra aprés. je me passerai de commentair. vu que j'exel pas dans ces matière ( heureusement moi l'année prochaine : adieu le francais et l'histoir-geo. bonjour la philo)